Marie-Thérèse d'Autriche (1717-1780)

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir Marie-Thérèse d'Autriche.

Marie-Thérèse
Illustration.
Marie-Thérèse d'Autriche en 1759, avec le sceptre et la Couronne de saint Étienne, par Martin van Meytens, Académie des beaux-arts de Vienne.
Titre
« Roi » de Hongrie et de Bohême,
duchesse de Bourgogne, de Milan, de Brabant, de Limbourg et de Luxembourg et archiduchesse d'Autriche

(40 ans, 1 mois et 9 jours)
Prédécesseur Charles III
Successeur Joseph II
Duchesse de Parme et de Plaisance

(7 ans, 11 mois et 28 jours)
Prédécesseur Charles II
Successeur Philippe Ier
Impératrice du Saint-Empire et reine de Germanie

(19 ans, 11 mois et 5 jours)
Prédécesseur Marie-Amélie d'Autriche
Successeur Josépha de Bavière
5e grande maîtresse de la Croix étoilée

(29 ans, 11 mois et 8 jours)
Prédécesseur Élisabeth-Christine de Brunswick-Wolfenbüttel
Successeur Marie-Louise d'Espagne
Princesse héritière d'Autriche, de Hongrie, de Bohême, de Bourgogne, de Milan, de Brabant, de Limbourg et de Luxembourg

(23 ans, 5 mois et 7 jours)
Prédécesseur Marie-Josèphe
Successeur Marie-Anne d'Autriche
Biographie
Titre complet voir Titulature complète
Dynastie Maison de Habsbourg
Date de naissance
Lieu de naissance Vienne
Drapeau du Saint-Empire Saint-Empire
Drapeau de l'Autriche Archiduché d'Autriche
Date de décès (à 63 ans)
Lieu de décès Vienne
Drapeau du Saint-Empire Saint-Empire
Drapeau de l'Autriche Archiduché d'Autriche
Sépulture Crypte des Capucins
Père Charles VI du Saint-Empire
Mère Élisabeth-Christine de Brunswick-Wolfenbüttel
Conjoint François Ier du Saint-Empire
Enfants Marie-Élisabeth d'Autriche
Marie-Anne d'Autriche
Marie-Caroline d'Autriche
Joseph II
Marie-Christine d'Autriche
Marie-Élisabeth d'Autriche
Charles-Joseph d'Autriche
Marie-Amélie d'Autriche
Léopold II
Marie-Caroline d'Autriche
Marie-Jeanne Gabrielle d'Autriche
Marie-Josèphe d'Autriche
Marie-Caroline d'Autriche
Ferdinand d'Autriche
Marie-Antoinette d'Autriche
Maximilien d'Autriche
Religion Catholicisme

Signature de Marie-Thérèse

Marie-Thérèse d'Autriche (1717-1780)
Souverains d'Autriche
modifier Consultez la documentation du modèle

Marie-Thérèse Walburge Amélie Christine de Habsbourg (en allemand : Maria Theresia Walburga Amalia Christina von Habsburg), née le à Vienne et morte dans la même ville le , est la dernière représentante de la Maison de Habsbourg. Fille aînée de l'empereur Charles VI mort sans descendance masculine, elle succède en octobre 1740 à son père à la tête des possessions héréditaires de la Maison de Habsbourg[Note 1], notamment l'archiduché d'Autriche où se trouve la capitale centrale Vienne; le royaume de Bohême, le royaume de Hongrie et le royaume de Croatie dont elle recevra les couronnes. Elle est restée dans l'histoire par son titre d'épouse : impératrice du Saint-Empire romain germanique et est couramment nommée "l'impératrice".

Bien que Charles VI ait pris soin de très longue date d'assurer sa succession, grâce à la Pragmatique Sanction de 1713 et à des traités avec les autres États d'Allemagne (Prusse, Bavière, etc.) et d'Europe, l'accession au pouvoir d'une princesse de 23 ans est l'occasion d'un long conflit, lancé par Frédéric II dès la fin de 1740, la guerre de Succession d'Autriche (1740-1748), à laquelle prennent aussi part, parmi les ennemis de Marie-Thérèse, la Bavière, la France et l'Espagne. Au terme de cette guerre, conclue par le traité d'Aix-la-Chapelle, Marie-Thérèse a perdu la Silésie, province qu'elle chérissait, cédée à la Prusse, mais son époux a été élu empereur et son pouvoir est solidement établi.

Mariée depuis 1736 à François III Étienne, duc de Lorraine et de Bar (jusqu'en 1737), puis grand-duc de Toscane, Marie-Thérèse ne peut être élue empereur, dignité réservée à un homme : compte tenu de la situation internationale, ce n'est qu'en 1745 que François de Lorraine est élu empereur, succédant à Charles VII, électeur de Bavière, élu en . Marie-Thérèse est donc couramment appelée l'« impératrice » Marie-Thérèse, formellement seulement en tant qu'épouse de l'empereur[Note 2]. Elle est cependant considérée par ses contemporains, qui la surnomment « la Grande », comme détentrice de facto de la dignité impériale, jusqu'à la mort de son mari en 1765, puis aux côtés de son fils Joseph II. Seule femme à avoir été souveraine des possessions des Habsbourg, elle est restée, dans la mémoire collective, comme l'un des plus grands monarques de son siècle, comme Catherine de Russie.

Elle a eu seize enfants, dont onze filles, parmi lesquels Joseph II, l'empereur du Saint-Empire, Léopold II (1747-1792) et la reine de France Marie-Antoinette (1755-1793).

Elle est avec son époux la fondatrice de la Maison de Habsbourg-Lorraine dont les descendants ont régné sur l'Autriche, la Hongrie, la Bohême, la Toscane et Modène, et même sur le Mexique.

Biographie

Famille

Marie-Thérèse enfant en 1727.

Dernière descendante de la Maison de Habsbourg, l'archiduchesse est la fille aînée de l'empereur Charles VI et de l'impératrice, née Élisabeth-Christine de Brunswick-Wolfenbüttel. Un seul de ses frères et sœurs a survécu au-delà de l'enfance : Marie-Anne (1718-1744) dont elle est restée très proche, mais qui mourra prématurément. L'archiduchesse est aussi proche de sa tante l'archiduchesse Marie-Madeleine. Issue d'une Maison marquée par la consanguinité, elle a hérité de sa mère la beauté et la force de caractère.

Elle épouse, le , François-Étienne de Lorraine, duc de Lorraine puis grand-duc de Toscane ; de cette union naissent seize enfants, dont la future reine de France Marie-Antoinette. Elle a aussi marié sa sœur cadette Marie-Anne au frère cadet de François, Charles-Alexandre de Lorraine (1712-1780), gouverneur général des Pays-Bas autrichiens.

Héritière des États des Habsbourg

L'Archiduchesse Marie-Thérèse
par Rosalba Carriera, vers 1730.
Gemäldegalerie Alte Meister (Dresde).

Afin d'affirmer l'indivisibilité des domaines des Habsbourg, son père, sans enfant mâle, rendit le la Pragmatique Sanction. Cette disposition de succession au trône réserve celui-ci à l’aîné vivant des enfants du souverain, quel qu'en soit le sexe. De fait, Charles VI désigne donc Marie-Thérèse pour lui succéder, au détriment de sa nièce, la fille de Joseph Ier, son frère aîné décédé.

Cet acte, reconnu par les diètes des États des Habsbourg, sera finalement garanti, non sans difficultés, par les grandes puissances européennes.

Le , Marie-Thérèse épouse son fiancé, François III Étienne, duc de Lorraine et de Bar. Ce dernier, aux traités de Vienne ( et ) mettant fin à la guerre de Succession de Pologne, reçoit le grand-duché de Toscane en échange de ses duchés héréditaires de Bar et de Lorraine qu'il abandonne non sans réticence à titre viager à Stanislas Leszczynski, roi déchu de Pologne, mais beau-père de Louis XV lesquels duchés, à la mort de l'ex-roi de Pologne, seront annexés par la France.

L'empereur Charles VI meurt soudainement le , et malgré ladite Pragmatique Sanction, Marie-Thérèse éprouve des difficultés à faire reconnaître ses droits aux trônes de son père, droits immédiatement contestés par la Bavière, l'Espagne, la France, le Piémont-Sardaigne, la Prusse et la Saxe. Sans ultimatum, Frédéric II de Prusse attaque la Silésie, riche territoire appartenant à la Maison de Habsbourg, avec pour conséquence le déclenchement de la guerre de Succession d'Autriche[Note 3].

Une succession très disputée

Marie-Thérèse, roi[Note 4] de Hongrie et de Bohême.

À la mort de l'empereur son père, Marie-Thérèse est une jolie jeune femme de 23 ans, vive, spontanée, très amoureuse de son mari ayant donné le jour à trois filles (l'aînée meurt à l'âge de 3 ans le 7 juin 1740, la troisième mourra le 25 janvier 1741 à l'âge de 1 ans) mais pas à l'héritier mâle qui affermirait sa Maison.

Depuis trois générations, la difficulté à engendrer l’héritier mâle destiné à raffermir le trône de la dynastie est cruellement ressentie par la famille impériale et par ses sujets. A son avènement, le "roi" de Bohême et de Hongrie est enceinte de 4 mois et espère donner enfin le jour à ce fils tant attendu.

Peu préparée à ses fonctions, la jeune souveraine se trouve confrontée à un « empire » sortant d'une guerre désastreuse contre l'Empire ottoman, une armée désorganisée, des caisses vides et une administration archaïque aux rouages grippés.

Elle est, de plus, assaillie de tous les côtés et par ceux-là mêmes qui s'étaient engagés à la soutenir, ses voisins et parents, notamment le roi Frédéric II de Prusse, nouveau roi en Prusse. Elle doit mener sans soutien ni argent la guerre de Succession d'Autriche (1740-1748) contre la Prusse, la Bavière, la Saxe, la France de Louis XV, le Piémont-Sardaigne et l'Espagne. Son cousin par alliance Charles Albert, électeur de Bavière, protégé par la France ennemie, est élu empereur (Charles VII) contrairement à la volonté de Charles VI.

À ces trahisons répond une première victoire « biologique » et politique : le 13 naît l'héritier mâle tant attendu. Sur les conseils de sa mère, elle le nomme en geste d'action de grâce, Joseph, comme le père nourricier du Christ.

Sur le plan politique, elle réussit à s'allier à l'Angleterre des Hanovre et à rallier à elle la noblesse hongroise. Cette guerre occasionne pourtant la perte de la Silésie, riche région minière qu'elle doit céder à la Prusse, et d'une petite partie du Milanais qu'elle cède au roi de Sardaigne son beau-frère, Charles-Emmanuel III de Sardaigne.

Le reste des possessions héréditaires des Habsbourg est cependant sauvegardé : Marie-Thérèse, conformément au vœu de son père, est alors à la tête de l'archiduché d'Autriche (-), « roi » de Hongrie[Note 4] (couronnée le [1]) et reine de Bohême (1743-1780).

Le trône des Habsbourg et la politique impériale

Thaler à la madone et à l'effigie de Marie-Thérèse d'Autriche (1742).

En 1745, après la mort de Charles VII, Marie-Thérèse fait élire son époux François-Étienne de Lorraine sur le trône impérial. Elle-même devient alors « impératrice consort des Romains ».

Marie-Thérèse au masque : l'impératrice aimait aussi les fêtes et les bals.

Nonobstant le fait que la dignité impériale ne pouvait être conférée qu'à un homme, la personnalité de Marie-Thérèse, faite de courage, de grandeur d'âme, de droiture et de pugnacité[réf. souhaitée], s'impose dans la politique de l'Empire, bien plus que la sage mesure qu'observe l'empereur François. Elle est pour toutes les cours, les chancelleries et pour le public, simplement « l'impératrice », qui exerce la réalité du pouvoir.

Ses contemporains la nomment assez rapidement, dès la seconde partie de son règne, « Marie-Thérèse la Grande »[Note 5].

Avec l'accession de François et Marie-Thérèse au trône, la dignité impériale revient dans la maison de Habsbourg (devenue maison de Lorraine d'Autriche ou Lorraine-Habsbourg mais connue depuis comme celle de Habsbourg-Lorraine) : la maison d'Autriche préserve ainsi sa puissance et son importance dans le concert des grandes nations européennes.

Peu formée à sa fonction, elle sait s'entourer d'hommes compétents et dévoués auxquels elle accorde une véritable confiance, tout en sachant aussi imposer son autorité. Parmi eux, le comte Emmanuel de Silva-Tarouca qui a assisté à sa naissance et à qui elle demande de lui parler sans détour et d'oser la critiquer avec franchise.

La nouvelle politique d'alliance mise en œuvre par son chancelier d'État, le comte de Kaunitz, ayant pour but de combattre la Prusse, a pour conséquence un rapprochement avec la France et le soutien de la Russie et de la Suède. Alliée à la France depuis 1756, Marie-Thérèse reprend la guerre contre Frédéric II de Prusse afin de récupérer la Silésie ; mais à l'issue de cette guerre de Sept Ans (1756-1763), cette tentative échoue lamentablement. Elle empêche toutefois son ennemi de prendre la Saxe, et réussit à obtenir son vote pour l'élection de son fils Joseph comme empereur. Elle privilégiera désormais des solutions plus pacifiques.

C'est au cours de cette guerre qu'elle crée un nouvel ordre de chevalerie, qui porte son nom et qui restera jusqu'en 1918 la plus haute décoration militaire autrichienne.

Elle renforce les liens avec ses sujets hongrois en leur manifestant une confiance particulière. Un corps d'élite de hussards hongrois est ainsi chargé d'assurer sa garde personnelle, tradition qui perdurera jusqu'en 1918 ; de plus, elle confie au maréchal comte Batthyány l'éducation du futur Joseph II[2].

À la mort de son époux en 1765, Marie-Thérèse, toute à sa douleur, songea à abdiquer mais, effrayée par le tempérament impulsif, autoritaire et vindicatif de son fils et successeur Joseph II, elle préféra conserver le pouvoir et seulement l'associer au gouvernement des « États héréditaires ».

Durant son règne, elle entreprit diverses réformes centralisatrices, notamment grâce à l'aide de son chancelier Kaunitz. Elle fut aussi une adepte du mercantilisme.

L'impératrice se laisse entraîner malgré elle — par Catherine II de Russie — dans le premier des partages de la Pologne. « Elle pleurait mais signait toujours » dit plus tard le cynique Frédéric II de Prusse, qui n'est pas aussi scrupuleux que la catholique souveraine autrichienne. En 1772, lui sont attribuées la Petite-Pologne et la Galicie.

Elle a aussi financé en 1777 la construction d'une école dans le centre de la ville de Herve en Belgique. Cet établissement, le collège royal Marie-Thérèse, est l'une des plus vieilles écoles de Belgique. Toujours en Belgique, en 1772, elle donne à une société littéraire le titre d'Académie impériale et royale des sciences et belles-lettres de Bruxelles, en lui assignant pour mission d'animer la vie intellectuelle du pays et de stimuler les recherches scientifiques. C'est l'origine de l'actuelle Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique, parfois dénommée « la Thérésienne ».

Religions

Bien que fervente catholique — toute l'Europe se moque de sa bigoterie[3] — qui impose sa religion comme la seule officielle et avec une grande intolérance[4], elle cherche à renforcer le contrôle de l'État sur l'Église et signe, en 1773, l'expulsion de la Compagnie de Jésus[2].

À l'égard des autres religions, elle déclare :

« Je déteste les protestants mais je hais les Juifs[Note 6],[3],[5]. »

D'ailleurs, elle expulse les quelque 20 000 Juifs de Prague en 1744, la plus grande communauté ashkénaze d'Europe, qu'elle rappelle rapidement après la catastrophe économique que cela déclenche afin de continuer à bénéficier du savoir-faire de ses exportateurs et négociants juifs en verre et en toile de Bohême[6],[7] Quant aux protestants, ils sont déplacés entre 1752 et 1757 : plus de 1 000 familles protestantes de Carinthie en Autriche vers la Transylvanie multiconfessionnelle, région actuellement en Roumanie[8].

Mariage et descendance

Les enfants impériaux, Joseph et six de ses frères et sœurs, à la sortie de la guerre de succession.

Marie-Thérèse est une épouse profondément amoureuse de son mari, qui le lui rend bien (on l'a dite parfois envahissante). À la différence des princes de leur temps, ils partageront la même chambre et le même lit pendant les 29 ans que durera leur union. Marie-Thérèse est une épouse ardente qui disgraciera un courtisan coupable d'avoir conseillé à l'empereur de faire chambre-à-part. Elle met au monde seize enfants dont cinq fils et onze filles (parmi lesquels dix parvinrent à l'âge adulte). Comme tout membre de la Maison des Habsbourg puis de Habsbourg-Lorraine, Marie-Thérèse, son mari et leur descendance sont destinés à être inhumés dans une crypte dédiée à Marie-Thérèse, au sein de la crypte des Capucins à Vienne.

Marie-Thérèse en deuil, vers 1772.

Elle a aussi 60 petits-enfants et 121 arrière-petits-enfants.

Postérité

Les membres de l'actuelle maison de Habsbourg-Lorraine, dite maison d'Autriche, descendent tous de Marie-Thérèse et de son mari François[9] et par ceux-ci de leurs enfants : Léopold II, Ferdinand duc de Modène, Marie-Amélie duchesse de Parme, et Marie-Caroline, reine de Naples et de Sicile. Par leurs mariages, les descendants actuels des maisons souveraines d'Espagne, de France, du Luxembourg, de Belgique, du Liechtenstein, des Deux-Siciles, de Parme, de Savoie, de Saxe et de Bragance, ont tous Marie-Thérèse dans leurs ancêtres directs. Il en est de même pour la maison ducale de Hohenberg et les comtes de Méran[10], branches morganatiques des Habsbourg-Lorraine. Les descendants de Marie-Thérèse se retrouvent également parmi les membres de plusieurs grandes familles de l'aristocratie européenne.

Thaler de Marie-Thérèse

Thaler de Marie-Thérèse (1858).

En 1741, Marie-Thérèse fait émettre une pièce de monnaie de un thaler à son effigie. Cette pièce de monnaie, communément appelé Thaler de Marie-Thérèse, connaîtra un grand succès et sera utilisée avec le même millésime (1780) sur tous les continents jusqu'en 1960.

Honneurs

Titulature complète

Héritière des Habsbourg, Marie-Thérèse porte de nombreux titres, matérialisant ses multiples possessions. Après le décès de son mari François Ier, le son « grand titre » était le suivant : Marie-Thérèse, par la Grâce de Dieu

Ascendance

Ascendance de Marie-Thérèse d'Autriche
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
32. Charles II d'Autriche-Styrie
 
 
 
 
 
 
 
16. Ferdinand II du Saint-Empire
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
33. Marie-Anne de Bavière
 
 
 
 
 
 
 
8. Ferdinand III de Habsbourg
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
34. Guillaume V de Bavière
 
 
 
 
 
 
 
17. Marie-Anne de Bavière
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
35. Renée de Lorraine
 
 
 
 
 
 
 
4. Léopold Ier du Saint-Empire
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
36. Philippe II d'Espagne
 
 
 
 
 
 
 
18. Philippe III d'Espagne
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
37. Anne d'Autriche
 
 
 
 
 
 
 
9. Marie-Anne d'Autriche
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
38=32. Charles II d'Autriche-Styrie
 
 
 
 
 
 
 
19. Marguerite d'Autriche-Styrie
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
39=33. Marie-Anne de Bavière
 
 
 
 
 
 
 
2. Charles VI du Saint-Empire
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
40. Philippe-Louis de Neubourg
 
 
 
 
 
 
 
20. Wolfgang-Guillaume de Neubourg
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
41. Anne de Clèves
 
 
 
 
 
 
 
10. Philippe-Guillaume de Neubourg
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
42=34. Guillaume V de Bavière
 
 
 
 
 
 
 
21. Madeleine de Bavière
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
43=35. Renée de Lorraine
 
 
 
 
 
 
 
5. Éléonore de Neubourg
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
44. Louis V de Hesse-Darmstadt
 
 
 
 
 
 
 
22. Georges II de Hesse-Darmstadt
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
45. Madeleine de Brandebourg
 
 
 
 
 
 
 
11. Élisabeth-Amélie de Hesse-Darmstadt
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
46. Jean-Georges Ier de Saxe
 
 
 
 
 
 
 
23. Sophie-Éléonore de Saxe
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
47. Madeleine-Sibylle de Prusse
 
 
 
 
 
 
 
1. Marie-Thérèse d'Autriche
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
48. Henri de Brunswick-Dannenberg
 
 
 
 
 
 
 
24. Auguste II de Brunswick-Wolfenbüttel
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
49. Ursule de Saxe-Lauenbourg
 
 
 
 
 
 
 
12. Antoine-Ulrich de Brunswick-Wolfenbüttel
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
50. Rodolphe d'Anhalt-Zerbst
 
 
 
 
 
 
 
25. Dorothée d'Anhalt-Zerbst
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
51. Dorothée-Hedwige de Brunswick-Wolfenbüttel
 
 
 
 
 
 
 
6. Louis-Rodolphe de Brunswick-Wolfenbüttel
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
52. Jean de Schleswig-Holstein-Sonderbourg
 
 
 
 
 
 
 
26. Frédéric de Schleswig-Holstein-Sonderburg-Norburg
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
53. Élisabeth de Brunswick-Grubenhagen
 
 
 
 
 
 
 
13. Élisabeth-Julienne de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Norbourg
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
54=50. Rodolphe d'Anhalt-Zerbst
 
 
 
 
 
 
 
27. Éléonore d'Anhalt-Zerbst
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
55=51. Dorothée-Hedwige de Brunswick-Wolfenbüttel
 
 
 
 
 
 
 
3. Élisabeth-Christine de Brunswick-Wolfenbüttel
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
56. Louis-Évrard d'Oettingen-Oettingen
 
 
 
 
 
 
 
28. Joachim-Ernest d'Oettingen-Oettingen
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
57. Marguerite d'Erbach
 
 
 
 
 
 
 
14. Albert-Ernest Ier d'Oettingen-Oettingen
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
58. Charles VII de Hohenlohe-Neuenstein
 
 
 
 
 
 
 
29. Anne-Dorothée de Hohenlohe-Neuenstein
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
59. Sophie de Deux-Ponts-Birkenfeld
 
 
 
 
 
 
 
7. Christine-Louise d'Oettingen-Oettingen
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
60. Jean-Frédéric de Wurtemberg
 
 
 
 
 
 
 
30. Eberhard VII de Wurtemberg
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
61. Barbara-Sophie de Brandebourg
 
 
 
 
 
 
 
15. Christine-Frédérique de Wurtemberg
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
62. Jean-Casimir de Salm-Kyrbourg
 
 
 
 
 
 
 
31. Anne-Catherine de Salm-Kyrbourg
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
63. Dorothée de Solms-Laubach
 
 
 
 
 
 
 

Dans les arts et la culture

Sa statue, sur la place Maria-Theresia (Maria-Theresien-Platz) à Vienne.

Musique

La Symphonie no 48 de Joseph Haydn, en do majeur Hob.48, composée en 1768/1769, est surnommée Marie-Thérèse en l'honneur de l'impératrice.

Cinéma et télévision

Marie-Thérèse d'Autriche a été interprétée à l'écran par :

Documentaire

Le documentaire-fiction de l'émission Secrets d'histoire sur France 2, intitulé Marie-Thérèse, l'envahissante impératrice d'Autriche, lui était consacrée[11]

Jeux vidéo

Dans Civilization II, Marie-Thérèse peut être choisie comme dirigeante de la civilisation allemande. Dans un opus suivant, Civilization V, elle est l'unique dirigeante de la civilisation autrichienne.

Notes et références

Notes

  1. L'archiduché d'Autriche et autres principautés autrichiennes, le royaume de Bohême, le royaume de Hongrie, le royaume de Croatie, le royaume de Galicie et Lodomérie, le duché de Mantoue, le duché de Milan, le duché de Parme ainsi que les duchés de Brabant, de Limbourg, de Luxembourg et les comtés de Flandre, de Hainaut, de Namur formant les Pays-Bas autrichiens.
  2. François de Lorraine n'aurait évidemment pas été élu s'il n'avait pas été l'époux de Marie-Thérèse.
  3. Pour le paragraphe : Piet Lenders, Vienne et Bruxelles : une tutelle qui n’exclut pas une large autonomie, p. 42, dans Hervé Hasquin et alii, La Belgique autrichienne, 1713-1794 : Les Pays-Bas méridionaux sous les Habsbourg d’Autriche, Bruxelles, Crédit Communal, 1987 ; Léopold Genicot, Histoire de la Wallonie, Toulouse, Privat (Univers de la France et des pays francophones. Série : Histoire des provinces), p. 198-200.
  4. a et b Les lois du royaume hongrois ne reconnaissent pas le titre de reine.
  5. Cf. le discours d'accueil du cardinal de Rohan à Marie-Antoinette d'Autriche à Strasbourg en 1770, la lettre du comte de Mercy apprenant l'exécution de la reine en 1793…
  6. Elle « exigeait l’installation d’un paravent lorsque le protocole de la cour la forçait à recevoir un sujet juif. » Lire en ligne

Références

  1. Le calendrier Belgique curieux et utile, Chez Pierre de Goesin, (lire en ligne), p. 40.
  2. a et b David Tarot, « L'impératrice Marie-Thérèse », La Nouvelle Revue d'histoire, no 64, , p. 46-48.
  3. a et b Elisabeth Badinter, « Marie-Thérèse d'Autriche : "Méconnue, car pas très sexy" », sur lhistoire.fr, L'Histoire, (consulté le ).
  4. Blaise Gauquelin, « Marie-Thérèse d’Autriche, la première dame de fer », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. Sophie Laurant, « Les trois destins de Marie-Thérèse d’Autriche », sur Le Pèlerin, (consulté le )
  6. Claude Michaud, « William O., McCagg Jr., Les Juifs des Habsbourg 1670-1918 », Revue d’Histoire Moderne & Contemporaine, vol. 46, no 2,‎ , p. 396–399 (lire en ligne, consulté le ).
  7. Jean-Paul Bled, Marie-Thérèse d'Autriche, Paris, Fayard, , 520 p. (ISBN 2-213-60997-7), p. 168
  8. Christine Lebeau, « Marie-Thérèse d'Autriche, une mémoire européenne », sur lhistoire.fr, L'Histoire no 435, (consulté le ).
  9. Nicolas Enache, La Descendance de Marie-Thérèse de Habsbourg, reine de Hongrie et de Bohême, 1996, L’Intermédiaire des chercheurs et curieux, 795 pages (ISBN 2-908003-04-X).
  10. L'archiduc Jean-Baptiste d'Autriche.
  11. « Marie-Thérèse, l'envahissante impératrice d'Autriche », sur Inatheque (consulté le )

Voir aussi

Bibliographie

  • Jean Bérenger, Histoire de l'empire des Habsbourg, t. 2 : 1665-1918, Paris, Tallandier, , 1 169 (ISBN 979-10-210-0070-4)
  • Jean-Paul Bled, Marie-Thérèse d'Autriche, Paris, Fayard, , 520 p. (ISBN 978-2-213-60997-3 et 2213609977)
  • Corneille-François de Nélis, Oraison funèbre de Marie-Thérèse, Bruxelles, Lemaire, Dujardin, Colaer, Libraires, (lire en ligne)
  • Stollberg-Rilinger, Barbara, Maria Theresia: Die Kaiserin in ihrer Zeit. Eine Biographie, Munich, C.H. Beck, (ISBN 978-3-406-69748-7)
  • Victor-Lucien Tapié, Monarchie et peuples du Danube, Paris, Fayard, (présentation en ligne)
  • Élisabeth Badinter, Le Pouvoir au féminin : Marie-Thérèse d'Autriche, 1717-1780 - L'impératrice reine, Paris, Flammarion, , 364 p. (ISBN 978-2-08-137772-1)
  • Élisabeth Badinter, Les Conflits d'une mère, Marie-Thérése d'Autriche et ses enfants, Flammarion,   (ISBN 978-2-0815-1807-0), 278 p.

Articles connexes

Liens externes

  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • VIAF
    • ISNI
    • BnF (données)
    • IdRef
    • LCCN
    • GND
    • Italie
    • Japon
    • CiNii
    • Espagne
    • Belgique
    • Pays-Bas
    • Pologne
    • Israël
    • NUKAT
    • Catalogne
    • Suède
    • Vatican
    • WorldCat
  • Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistesVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Biographisches Lexikon zur Geschichte Südosteuropas
    • Britannica
    • Brockhaus
    • Collective Biographies of Women
    • Den Store Danske Encyklopædi
    • Deutsche Biographie
    • Dizionario di Storia
    • Enciclopedia delle donne
    • Enciclopedia italiana
    • Gran Enciclopèdia Catalana
    • Hrvatska Enciklopedija
    • Larousse
    • Nationalencyklopedin
    • Proleksis enciklopedija
    • Store norske leksikon
    • Treccani
    • Universalis
  • Ressources relatives aux beaux-artsVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • AGORHA
    • British Museum
    • ECARTICO
    • National Portrait Gallery
    • Nationalmuseum
    • RKDartists
    • Royal Academy of Arts
    • Te Papa Tongarewa
    • Union List of Artist Names
  • Ressource relative à la vie publiqueVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Documents diplomatiques suisses 1848-1975
  • Ressource relative à la bande dessinéeVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Comic Vine
  • Ressource relative à la musiqueVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Discogs
v · m
Les générations sont numérotées dans l'ordre de la descendance depuis les premiers archiducs. Au sein de chaque génération, l'ordre est strictement chronologique et défini par la date de naissance.
1re génération Aucune
2e génération
3e génération Marguerite d'Autriche
4e génération
5e génération
6e génération
7e génération
8e génération
9e génération
  • Marie-Antoinette d'Autriche
  • Marie-Élisabeth d'Autriche
  • Marie-Anne d'Autriche
  • Marie-Thérèse d'Autriche
  • Marie-Josèphe d'Autriche
  • Marie-Madeleine d'Autriche
10e génération
11e génération
12e génération
13e génération
14e génération
15e génération
16e génération
17e génération
  • Adélaïde d'Autriche
  • Charlotte d'Autriche
  • Élisabeth d'Autriche
  • Élisabeth, Edle Hubert von Braun[2]
  • Alice, baronne Vittorio Manno[2]
  • Marie-Antoinette, baronne de Proff in Irnich[2]
  • Walburga, Mme Carlos Tasso[2]
  • Katharina, Mme Roland Huber[2]
  • Agnès, baronne Peter de Fürstenberg[2]
  • Maria Ileana, comtesse Adam Kottulinski[2]
  • Alexandra, baronne Viktor de Baillou[2]
  • Maria Magdalena, baronne de Holzhausen[2]
  • Élisabeth, Mme Friedrich Sandhofer[2]
  • Ilona de Habsbourg-Hongrie
  • Agnès-Christine de Habsbourg-Toscane[2]
  • Josepha, comtesse Clemens de Waldstein-Wartenberg[2]
  • Valérie de Habsbourg-Toscane[2]
  • Alberta, baronne Alexander de Kottwitz-Erdödy[2]
  • Maria Immaculata, comtesse Reinhart de Hoensbroech[2]
  • Monika, Mme Charles de Rambures
  • Marie-Christine, Mme Raymond van der Meide
  • Maria, Mme Wilhelm de Witt
  • Margherita, comtesse Benedikt de Piatti
18e génération
  • Alexandra, Mme Héctor Riesle
  • Maria del Pilar, Edle Vollrad-Joachim von Poschinger
  • Andrea de Habsbourg
  • Monika de Habsbourg
  • Michaela de Habsbourg
  • Kinga, baronne Wolfgang d'Erffa
  • Marie-Béatrice, comtesse Riprand d'Arco-Zinneberg[3]
  • Gabriela de Habsbourg
  • Maria Constanza, princesse d'Auersperg-Trautson
  • Walburga d'Autriche
  • Myriam, Mme Jaime Corcuerra
  • Viridis, Lady Dunning-Gribble
  • Isabelle, comtesse Andrea Czarnocki-Lucheschi[3]
  • Maria Anna, princesse Peter Galitzine
  • Catharina de Habsbourg
  • Elisabeth, Mme James Litchfield
  • Sophie de Habsbourg
  • Marie-Christine, Mme Clemens Guggenberg
  • Marie-Bernadette, Mme Rupert Wolff[2]
  • Katharina, Mme Niall Brooks[2]
  • Margaretha, Mme Andreas Baumgartner[2]
  • Marie-Valérie, Mme Martin Josef Wagner[2]
19e génération
  • Marie-Christine, comtesse Rodolphe de Limburg-Stirum
  • Maria Laura de Belgique[3]
  • Éléonore de Habsbourg-Lorraine
  • Luisa Maria de Belgique[3]
  • Gloria de Habsbourg-Lorraine
  • Zsófia de Habsbourg-Lorraine
  • Ildiko de Habsbourg-Lorraine
  • Laetitia Maria de Belgique[3]
  • Hélène d'Autriche-Este[3]
20e génération
  • Maria-Stella de Habsbourg-Lorraine
  • Katarina de Habsbourg-Lorraine
  • Magdalena de Habsbourg-Lorraine
  • Anna-Astrid d'Autriche-Este[3]
  • Sophia de Habsbourg-Lorraine
  • Juliana de Habsbourg-Lorraine
  • Cecilia de Habsbourg-Lorraine
  • Alix d'Autriche-Este[3]
v · m
Přemyslides
  • Bořivoj Ier
  • Spytihněv Ier
  • Vratislav Ier
  • Venceslas Ier
  • Boleslav Ier
  • Boleslav II
  • Boleslav III
  • Vladivoj
  • Boleslas Ier
  • Jaromír
  • Ulrich
  • Bretislav Ier
  • Spytihněv II
  • Vratislav II
  • Conrad Ier
  • Bretislav II
  • Bořivoj II
  • Svatopluk
  • Vladislav Ier
  • Sobeslav Ier
  • Vladislav II
  • Frédéric
  • Sobeslav II
  • Conrad II
  • Venceslas II
  • Ottokar Ier
  • Bretislav III
  • Spytihněv III
  • Vladislav III
  • Venceslas Ier
  • Ottokar II
  • Venceslas II
  • Venceslas III
non dynastiques
Luxembourg
Habsbourg
  • Albert
  • interrègne
  • Ladislas
non dynastiques
Jagellon
Habsbourg
  • Ferdinand Ier
  • Maximilien
  • Rodolphe II
  • Matthias II
  • Ferdinand II
  • Frédéric
  • Ferdinand III
  • Ferdinand IV
  • Léopold Ier
  • Joseph Ier
  • Charles II
  • Charles-Albert
  • Marie-Thérèse
Habsbourg-Lorraine
v · m
Árpád
Anjou
  • Charles Martel
  • Charles Robert
  • Louis Ier
  • Marie Ire
  • Charles II de Durazzo
Luxembourg
  • Marie Ire avec Sigismond Ier de Luxembourg
  • Sigismond Ier de Luxembourg
Habsbourg
  • Albert Ier
Jagellon
  • Ladislas VI
Habsbourg
Hunyadi
  • Matthias Ier
Jagellon
Habsbourg-Autriche
  • Ferdinand Ier
  • Maximilien Ier
  • Rodolphe Ier
  • Matthias II
  • Ferdinand II
  • Ferdinand III
  • Ferdinand IV
  • Ferdinand III (deuxième règne)
  • Léopold Ier
  • Joseph Ier
  • Charles III
  • Marie-Thérèse Ire avec François Ier
Habsbourg-Lorraine
  • Joseph II
  • Léopold II
  • François II
  • Ferdinand V
  • François-Joseph Ier d'Autriche
  • Charles IV de Hongrie
v · m
Comtes de Luxembourg
Maison de Luxembourg
(963–1136)
Maison de Namur
(1136–1189)
Henri IV
Maison de Hohenstaufen
(1196–1197)
Otto
Maison de Namur
(1197–1247)
Ermesinde avec Thiébaut puis Waléran
Maison de Limburg
(1247–1354)
  • Henri V
  • Henri VI
  • Henri VII
  • Jean Ier
  • Charles Ier
  • Venceslas Ier
Ducs de Luxembourg
Maison de Limburg
(1354–1443)
Maison de Valois-Bourgogne
(1443–1482)
  • Philippe Ier
  • Charles II
  • Marie Ire et Maximilien Ier
Maison de Habsbourg
(1482–1700)
  • Philippe II
  • Charles III
  • Philippe III
  • Isabelle et Albert
  • Philippe IV
  • Charles IV
Maison de Bourbon
(1700–1712)
Philippe V
Maison de Wittelsbach
(1712–1713)
Maximilian II
Maison de Habsbourg
(1713–1780)
  • Charles VI
  • Marie II
Maison de Habsbourg-Lorraine
(1780–1794)
  • Joseph
  • Léopold
  • François
Grands-ducs de Luxembourg
Maison d'Orange-Nassau
(1815–1890)
  • Guillaume Ier
  • Guillaume II
  • Guillaume III
Maison de Nassau-Weilburg
(depuis 1890)
  • Adolphe
  • Guillaume IV
  • Marie-Adélaïde
  • Charlotte
  • Jean
  • Henri
v · m
  • Pierre Louis (1545-1547)
  • Octave (1556-1586)
  • Alexandre (1586-1592)
  • Ranuce Ier (1592-1622)
  • Édouard Ier (1622-1646)
  • Ranuce II (1646-1694)
  • François (1694-1727)
  • Antoine (1727-1731)
  • Charles Ier (1731-1735)
  • Charles (1735-1740)
  • Marie-Thérèse (1740-1748)
  • Philippe Ier (1748-1765)
  • Ferdinand Ier (1765-1802)
  • Cambacérès (Parme) (1808-1814)
  • Lebrun (Plaisance) (1808-1814)
  • Marie-Louise (1814-1847)
  • Charles II (1847-1849)
  • Charles III (1849-1854)
  • Robert Ier (1854-1859)
  • icône décorative Portail du XVIIIe siècle
  • icône décorative Portail de l'Autriche
  • icône décorative Portail du Saint-Empire romain germanique
  • icône décorative Portail de la Tchéquie
  • icône décorative Portail de la Hongrie
  • icône décorative Portail de l'Émilie-Romagne
  • icône décorative Portail de la Bourgogne
  • icône décorative Portail de Milan
  • icône décorative Portail des Flandres
  • icône décorative Portail du Luxembourg
  • icône décorative Portail de la monarchie