Saint-Pierre-de-Mons

Saint-Pierre-de-Mons
Saint-Pierre-de-Mons
La mairie (juin 2009).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Sud Gironde
Maire
Mandat
Patrick Labayle
2020-2026
Code postal 33210
Code commune 33465
Démographie
Gentilé Pierre-Monsois
Population
municipale
1 236 hab. (2021 en augmentation de 4,83 % par rapport à 2015)
Densité 133 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 33′ 10″ nord, 0° 13′ 10″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 55 m
Superficie 9,27 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Langon
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud-Gironde
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Pierre-de-Mons
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Pierre-de-Mons
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Voir sur la carte topographique de la Gironde
Saint-Pierre-de-Mons
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Saint-Pierre-de-Mons
Liens
Site web www.saint-pierre-de-mons.fr/
modifier Consultez la documentation du modèle

Saint-Pierre-de-Mons (Sent Pèir de Lengon en occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Pierre-Montois[1].

Géographie

Localisation

Commune de l'unité urbaine de Langon située au sud (rive gauche) de la Garonne, à 48 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 2,5 km à l'est de Langon, chef-lieu d'arrondissement et de canton[2].

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Saint-Pardon-de-Conques à l'est, Auros au sud-est, Coimères au sud et Langon à l'ouest. Sur la rive droite de la Garonne, se trouvent les communes de Saint-Macaire au nord-ouest et du Pian-sur-Garonne au nord.

Carte
Les limites communales de Saint-Pierre-de-Mons et celles de ses communes adjacentes.
Communes limitrophes de Saint-Pierre-de-Mons
Saint-Macaire
                   Rive droite
Le Pian-sur-Garonne
de la Garonne                     
Langon Saint-Pierre-de-Mons Saint-Pardon-de-Conques
Coimères Auros

Climat

Pour des articles plus généraux, voir Climat de la Nouvelle-Aquitaine et Climat de la Gironde.

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 835 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cazats à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 13,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 825,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme

Typologie

Saint-Pierre-de-Mons est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Langon, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[13] et 13 863 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16],[17].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (46,6 %), terres arables (21,8 %), zones agricoles hétérogènes (9,2 %), forêts (9,1 %), zones urbanisées (6,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5 %), eaux continentales[Note 3] (1,9 %), prairies (0,1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports

Le bourg est traversé par la route départementale D224, qui mène à Langon à l'ouest et à Castets et Castillon à l'est. Plus au sud, le territoire communal est traversé par la route départementale D116 reliant Langon à Savignac à l'est-sud-est ainsi que par l'autoroute A62. La route départementale D10, reliant Langon à Auros au sud-est, borde le sud dudit territoire.

L'autoroute la plus proche est l'autoroute A62 dont l'accès Sortie 3 Langon est distant de 4 km par la route vers l'ouest-sud-ouest.
L'accès Sortie Bazas à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 14 km vers le sud.

La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 3 km par la route vers l'ouest, de Langon sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Saint-Pierre-de-Mons est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Garonne, le Beuve et le ruisseau de Grusson. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1991, 1995, 1997, 1999, 2009, 2020 et 2021[21],[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Pierre-de-Mons.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 520 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 520 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[19].

Histoire

L'origine du nom de la commune reste partiellement inexpliquée d'autant qu'à l'origine, la paroisse était dédiée à Saint Remi, évêque de Reims.

Le chanoine Léglise[23] a rapproché le nom de la commune de celui de l'ancienne église prieurale romane « Saint-Pierre de Mons » de Belin-Béliet où étaient honorés les preux de Charlemagne et de celui de « Saint-Pierre de Sainte-Quitterie » citée dans le guide du Pèlerin de Compostelle comme le sanctuaire abritant les corps desdits preux, compagnons de Charlemagne et cités dans La Chanson de Roland.

À la Révolution, la paroisse Saint-Pierre-de-Mons forme la commune de Saint-Pierre-de-Mons[24].

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1952 1953 Valmont Ferrand    
1953 octobre 1986 André Labayle † PS  
octobre 1986 En cours Patrick Labayle[25] PS Retraité
Fils du précédent, 7e vice-président de la CdC de Sud Gironde
Les données manquantes sont à compléter.

Communauté de communes

Le , la communauté de communes du Pays de Langon ayant été supprimée, la commune de Saint-Pierre-de-Mons s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Sud Gironde siégeant à Mazères.

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

En 2021, la commune comptait 1 236 habitants[Note 4], en augmentation de 4,83 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0691 0401 122970962860947913930
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
898884837819750850838825780
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
796757732696668649669673690
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
6666365857127998139551 0281 069
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
2014 2019 2021 - - - - - -
1 1781 2271 236------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Le territoire communal est aujourd'hui formé en grande partie de coteaux occupés par des vignobles qui produisent des vins d'appellation Graves blancs et rouges.

Lieux et monuments

  • L'église Saint-Pierre actuelle qui a remplacé une église du XIe siècle dédiée à saint Rémi sur l'emplacement du presbytère, est de style gothique flamboyant et date du XVIe siècle. Son clocher gothique construit en 1554 est une flèche polygonale à crochets et quatre clochetons, copié sur l'une des flèches de la Notre-Dame de Chartres[30].
  • La sacristie renferme une croix processionnelle en cuivre du XVIe siècle classée à l'inventaire des monuments historiques au titre d'objet depuis 1971[31] et la nef, une statue de saint Pierre en bois polychrome du XVIIIe siècle.
  • Le lavoir de Robin se trouve dans l'est du territoire communal, en limite de Saint-Pardon-de-Conques.
  • L'église Saint-Pierre (juin 2009)
    L'église Saint-Pierre (juin 2009)
  • Le lavoir de Robin (oct. 2011)
    Le lavoir de Robin (oct. 2011)
  • Le monument aux morts près de l'église (juin 2009)
    Le monument aux morts près de l'église (juin 2009)

Personnalités liées à la commune

  • Gérard Duprat, militant syndicaliste et député, est né à Saint-Pierre-de-Mons en 1912.
  • Pierre Lees-Melou, footballeur professionnel, a grandi et habité à Saint-Pierre-de-Mons.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Saint-Pierre-de-Mons, sur Wikimedia Commons
  • Saint-Pierre-de-Mons, sur le Wiktionnaire
  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • BnF (données)
  • Ressources relatives à la géographieVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Insee (communes)
    • Ldh/EHESS/Cassini
  • Site officiel de la commune, consulté le .
  • Résultats du recensement de la population de Saint-Pierre-de-Mons sur le site de l'INSEE, consulté le .
  • Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Pierre-de-Mons », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
  • Saint-Pierre-de-Mons sur le site de l'Institut géographique national

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

  1. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 24 juin 2011.
  2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 42,6 km pour Bordeaux et 1,8 km pour Langon. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 24 juin 2011.
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Saint-Pierre-de-Mons et Cazats », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Cazats » (commune de Cazats) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Cazats » (commune de Cazats) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Langon », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Pierre-de-Mons », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. Patrimoine culturel de Saint-Pierre-de-Mons sur le site de la commune, consulté le 24 juin 2011.
  24. Historique des communes, p. 58, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 7 avril 2013.
  25. Commune de Saint-Pierre-de-Mons sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 24 juin 2011.
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Informations fournies sur le site Église en Langonnais, consulté le 24 juin 2011.
  31. « Classement MH de la croix de procession », notice no PM33000758, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consulté le 24 juin 2011.
  • icône décorative Portail des communes de France
  • icône décorative Portail de la Gironde